31 décembre 2016

La pollution et la sécurité routière parmi les problèmes soulevés par les étrangers vivants à Taiwan !!

La qualité de l'air et la sécurité routière sont parmi les premiers problèmes soulevés par les étrangers vivants à Taiwan, selon un sondage publié.


Le sondage sur la Qualité de la Vie en 2014, commandé par la Chambre de Commerce Européenne de Taiwan (ECCT 歐洲商會) et la compagnie d'études de marché TNS, démontre que seulement 38% des étrangers pensent que la qualité de l'air dans le pays est bonne, un déclin par rapport à 63% en 2011.




La sécurité routière arrive également en tête de liste des préoccupations des étrangers qui pensent majoritairement que les routes de Taiwan ne sont pas sûres. Mike Jewell, directeur de recherches chez TNS Taiwan indique que la sécurité des routes à Taiwan est l'un des gros problèmes soulevés par les expatriés.



"Même les règles les plus basiques sont constamment violées sur les routes taiwanaises, et il y a rarement des conséquences pour les mauvais conducteurs", indique M.Jewell citant les paroles de sondés. "Le gouvernement doit d'urgence déployer plus d'efforts pour renforcer et les lois, et les contrôles, tout en éduquant davantage les conducteurs".




A l'inverse, dans le sondage, tout n'est pas négatif. A 96% les étrangers se disent satisfaits par la sûreté publique dans les villes, dans les rues, dans les transports, et 79% trouvent le système médical bon, voire excellent. Un peu plus de 50% se disent également satisfaits des services Internet, de la fourniture en eau et en énergie.



Le sondage de l'ECCT couvre 51 aspects de la qualité de vie à Taiwan, et 200 étrangers vivant à Taipei (臺北), à Taichung (臺中) et à Kaohsiung (高雄) ont été interrogés •
Teresa Jiang


Source Taipeisoir.

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15 décembre 2016

Petit plongeon dans un lac de lait !!


Yangminshan 02
Ce petit lac de lait, perché dans les hauteurs de Yangminshan,(Taipei) n’en a pas toujours été un. Au départ, il s’agissait d’un grand puits à ciel ouvert de la compagnie minière Ruiyong qui en disposait de trois sur les lieux où elle extrayait le soufre. Pour les deux autres puits, près du lieu appelé Lengshuikeng, l’eau claire y a coulé en abondance, offrant alors aux strates inférieures du sol montagneux volcanique une richesse en eau telle qu’on jouit aujourd’hui de pâturages et flore d’un vert émeraude que nous voyons aujourd’hui. Pour ce qui est du troisième puits, plus proche du mont Qixing, l’eau n’a pu s’infiltrer dans le sol de la même manière et s’est accumulée, à force de pluies, donnant naissance à une flaque, puis un petit lac.
Mais pourquoi cet aspect laiteux?
Au fil des ans et du temps qui passe sans suspendre son vol, des minéraux métamorphiques en suspension dans l’eau ainsi accumulée se sont déposés et ont formé un sédiment blanc dans le fond du lac. Avec les rayons du soleil, l’eau du lac réverbère la paroi blanche pour offrir au lac son aspect laiteux.
Autre phénomène curieux : l’absence de végétation dans les eaux du lac, ce qui contraste avec la végétation verdoyante environnante. En réalité, l’eau du lac contient une concentration de de matière volcanique si forte qu’elle empêche la croissance de quelconque plante aquatique.
 Yangminshan 03




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01 décembre 2016

Un artiste français redonne vie aux vieilles pierres de Chiayi (Taiwan) !!

Christophe Chevance, un artiste français originaire de Bretagne et installé dans la ville méridionale de Chiayi depuis quatre ans, y a lancé un bistrot à la mode hexagonale dans une vieille maison restaurée par ses soins.

Sept mois de travaux ont été nécessaires pour transformer cette vieille bâtisse décrépite, située sur la rue Ronghe et construite en 1925, pour en faire un lieu convivial, offrant une cuisine française familiale. « Il a consacré beaucoup d’efforts à la recherche des bois anciens et des matériaux pour restaurer, à la force du poignet, cette vieille maison qui ne tenait même plus debout. Le résultat a gagné l’approbation de tous », a expliqué son épouse, Fan Li-chiung [范儷瓊]. Le projet de rénovation a ainsi reçu l’appui de la municipalité de Chiayi, qui a offert une subvention pour faire face au coût des travaux.

Twu Shiing-jer [涂醒哲], le maire de Chiayi, qui est d’ailleurs venu visiter ce nouveau bistrot ouvert dans sa ville, a souligné l’importance de la préservation des vieilles maisons, souvent en bois et construites il y a plus de 300 ans.

Afin d’encourager ses administrés à préserver le patrimoine et à le faire vivre, la municipalité subventionne depuis un an la rénovation des vieilles maisons jusqu’à hauteur de 300 000 dollars taiwanais lorsque celles-ci ont été construites avant 1971. Une allocation logement de 5 000 dollars taiwanais est par ailleurs offerte pour ceux qui habitent dans ce type de maison.



Christophe Chevance n’est pas seulement maçon et bistrotier, c’est aussi un artiste accompli. Peintre figuratif et plasticien, il a récemment exposé à Taipei et au Musée municipal de Chiayi ses dessins en noir et blanc représentant des formes organiques et minérales inspirées de la végétation luxuriante des forêts taiwanaises d’où émane un certain mystère.
Source Taiwan Info.

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15 novembre 2016

Vos prochaines vacances Made in Taiwan !!

Si vous ne savez toujours pas quoi faire de vos vacances et que vous voulez éviter le cousu main des clubs 100% farniente (garantissant le même pourcentage d’ennui), vous pourriez raisonnablement regarder sur une carte où se trouve Taïwan. Là-bas, le tourisme de masse est encore inexistant.
Honnêtement, je n’aurais jamais songé à passer des vacances à Taïwan si je n’avais dû y aller pour des raisons professionnelles. A part le made in Taïwan et un vague souvenir de Tchang Kaï-Chek dans un livre d’histoire, ça ne me disait rien. Mais, puisque je devais y aller, autant prolonger le séjour et, pourquoi pas?, y emmener mes enfants.

Un tourisme encore peu développé?

Première impression: le tourisme, du moins le tourisme occidental, y est inexistant. En deux semaines, nous croiserons presque uniquement des Asiatiques (dont des Japonais). Pourtant à l’office de tourisme, on m’indique que l’île est bien fréquentée par les Européens, et pas seulement pour les voyages d’affaires. On y trouve pas mal de Français (36.000 en 2014).
Il y a donc sans doute plein de touristes mais, en dehors de Taipei, je ne les ai pas vus. D’ailleurs, si vous êtes blond aux yeux bleus (comme mon fils), il n’est pas exclu qu’on vous offre une place assise dans le métro.
Et c’est la deuxième impression: s’ils ne parlent pas toujours l’anglais, les Taiwanais se montrent toujours prévenants, prêts à renseigner ou rendre service. Je n’oublierai pas cette dame qui est descendue de son vélo pour nous accompagner à pied, sous la pluie, une heure durant, afin de nous aider à trouver les sources d’eau chaude que nous cherchions en vain dans les collines du (magnifique) parc national de Yangmingshan. Et, comme elle ne parlait pas un mot d’anglais, elle était scotchée au téléphone avec sa fille qui faisait la traduction.
Pas de files d’attente (sauf à Taipei 101), ni de prix délirants ou de difficultés à se loger: l’absence de tourisme de masse a du bon. Pour trouver un hébergement, nous avons improvisé 15 jours durant, sans jamais galérer. Autre atout: se déplacer à Taïwan est très facile. Dépaysement garanti: le métro est propre et rapide, les taxis sont souriants et leurs tarifs sont raisonnables.
En fait, à aucun moment, jamais, je n’ai eu le sentiment d’être pris pour un touriste à qui il faut soutirer le maximum de pognon en lui vendant un truc dont il n’a pas besoin. En vacances, la sérénité est un confort qui n’a pas de prix. Ce furent 15 jours de quiétude absolue.

Des temples. Beaux. Partout.

Ca tombe bien: il y a pas mal de choses à voir. Sans doute l’effet made in Taïwan, je m’attendais à voir des usines tous les 100 mètres. Il y en a certainement quelques-unes mais rien ne vous oblige à faire du tourisme industriel. Pour ma part, je préfère le patrimoine historique. Prévoyez de bonnes chaussures.
Le National Palace Museum, le Louvre taiwanais, abrite une splendide collections de peintures, céramiques, calligraphies... Près de 700.000 pièces qui sont arrivées en partie dans les valises de Tchang Kaï-Chek lorsqu’il a dû quitter le continent. Hasard de l’histoire qui en fait la plus belle collection d’art chinois au monde.
Autre plaisir des yeux: les temples. Il y en a des quantités, qui se visitent en une heure ou trois minutes, selon leur taille ou leur intérêt. Je peux me permettre d’écrire un petit sacrilège? J’ai préféré les temples de Taïwan à la Cité interdite de Pékin. Ne serait-ce que parce qu’il est possible de les visiter en prenant le temps de flâner, sans devoir se faire une place dans une nuée de téléphones portables agglutinés pour faire la même photo. Et qu’ils sont «vivants»: un matin, au temple de Lungshan, nous avons passé une bonne heure à écouter des petits vieux en train de jouer de la musique (en fait, ils nous servaient du thé pour nous empêcher de partir).


Les temples taiwanais sont plus modestes, mais pas moins beaux, avec leurs toitures incurvées, ornées d’extravagants dragons, leurs sculptures en pierre, animaux, personnages menaçants ou bienveillants. Certains sont majestueux, d’autres minuscules, enserrés dans les rues. Il y a toujours quelqu’un qui prie quelques minutes. Comme dans le petit temple Xai Hai, réputé pour favoriser les unions heureuses (au point d’afficher un tableau avec des statistiques par année).

De telles statistiques affolent… les bâtons d’encens. Résultat: les figurines sont entièrement noircies (et d’autant plus fascinantes).
J’ai adoré tous ces temples. A Tainan, ville qui en compte plus de 300 (!), au bout d’une dizaine de visites, mes enfants épuisés ont demandé grâce. J’en ai négocié deux ou trois de plus en leur promettant des sushis.

L’héritage japonais

Des sushis? Oui, car Taiwan, ancienne colonie japonaise, a gardé quelques délicieuses traditions nippones. Si vous aimez le poisson cru (mais pas seulement), vous ne serez pas déçu. Laissez-vous tenter, au hasard de vos déambulations, par un restaurant même d'allure modeste, comme Ichiro, par exemple. Amusé par ces Européens installés au bar, le chef nous a proposé une succession d’assiettes raffinées et inventives. Et la facture n’a pas été excessive, loin de là.
Autre héritage japonais, celui des bains dans les sources chaudes. Pour en profiter, il est possible de séjourner dans un hôtel plus ou moins chic ou bien d’aller dans les bains publics, comme nous l’avons fait à Beitou. Là, dans des bacs à différentes températures, on bout tranquillement, en devisant dans un langage approximatif avec les habitants du coin– et quelques rares touristes. Vous pouvez aussi tremper les pieds dans la rivière fumante qui jaillit de la montagne, en sniffant du soufre.


Parenthèse chatouille: dans les hôtels de bon standing, vous pourrez aussi vous rincer les fesses à l’eau chaude, les WC étant équipés de ce petit jet que Seth Stevenson recommanda chaleureusement aux lecteurs de Slate. Les enfants adorent (moi aussi).

La vraie street food

Autre grand bonheur, les marchés de nuit. Dans les villes, certains quartiers commencent à s’animer vers 19h, pour devenir de gigantesques marchés de nuit. On y trouve quelques animations de style fête foraine: vous pêchez vos crevettes et elles deviennent des brochettes, c’est d’une merveilleuse cruauté:

Vous pouvez tester des chaises massantes d’un mauvais goût parfait.

Mais on y trouve surtout une myriade de stands minuscules où l’on se nourrit pour trois fois rien. Les food trucks hors de prix de Paris plage ou les churros graisseux des stations balnéaires n’avaient pas fait de moi un adepte de la street food. J’ai révisé mon jugement. 
Entre les généreux jus de fruits (avec de vrais fruits frais, variés, permettant des mélanges improbables), les salades, les moules vertes, les brochettes, les calamars grillés, j’en oublie, on se nourrit merveilleusement dans ces marchés de nuit. Mes enfants ont adoré ces lieux très animés jusque vers minuit ou davantage. Nous avons même goûté cet improbable tofu puant (l’odeur est exécrable, le goût plutôt fade) dont tout le monde semble friand. Sans oublier le «bubble tea», improbable mélange de thé, glaçons, lait aromatisé et boules de tapioca. Bon, amusant et frais –à condition d’éviter les trop grands verres, car cela devient un peu écoeurant.
Ne croyez pas que je réduise Taiwan à de la street food et des sushis. La tradition culinaire chinoise est omniprésente, souvent raffinée et bien plus légère que je ne l’imaginais. On s’est régalés.

Des plages désertes

Lorsque les sushis n’ont plus suffi à calmer mes enfants épuisés, il a fallu négocier un séjour à la plage. Tout au sud, près de Kenting national park, se trouvent quelques stations balnéaires très fréquentées mais aux plages curieusement presque désertes. Les Taiwanais nagent peu, nous a-t-on dit. De fait, nous avions les rouleaux du Pacifique pratiquement pour nous seuls, tandis que les locaux se contentaient d’aller dans l’eau jusqu’aux genoux. Autant que nous avons pu le constater, les plages sont propres.


Même sentiment de sérénité dans les gorges de Taroko. Cette rivière aux magnifiques canyons de marbre est un bonheur pour les yeux et les randonneurs. Là encore, peu de touristes et des moments de silence absolu, des visions d’harmonie parfaite. Dans une des gorges adjacentes, nous avons marché longtemps avant de de faire une pause pour savourer de délicieux fruits du dragon (cueillis mûrs, ça change tout), achetés aux habitants du parc.
En 15 jours, je n’ai évidemment pas tout vu, et je regrette de n’avoir pu aller dans des plantations de thé, visiter l’archipel de Penghu ou voir le lac du Soleil et de la Lune. Mais peu importe: j’ai adoré ce voyage. Certes, c’est loin et le prix du billet d’avion n’est pas négligeable. Mais, compte tenu du coût de la vie sur place, de la qualité de la nourriture et du dépaysement, la comparaison avec la Côte d’Azur (locations hors de prix, bouffe chère et dégueu, embouteillages permanents, accueil au mieux désagréable) pourrait bien tourner à l’avantage de Taiwan.
Une dernière chose: les beaux paysages s'accompagnent souvent de clubs balnéaires qui les défigurent ou de dictatures qui récupèrent des devises. Taïwan doit être un de ces rares pays que l'on peut encore découvrir sans avoir à se faire une place entre deux parasols. L'île a commencé à miser sur le tourisme depuis quelques années. Il n'est pas exclu que ce tourisme en quelque sorte privilégié que je raconte prenne fin progressivement. Alors, ne partagez surtout pas cet article.
***

Y aller
La compagnie Eva Air assure des vols directs depuis Paris, à partir de 782 euros. Autres vols en correspondance depuis Paris assurés par China airlines, Emirates, Cathay Pacific… (aux environs de 600 euros).
Quand?
Difficile d’oublier l’arrivée, un lendemain de typhon, dans Taipei, ville jalonnée de branches cassées et d’arbres arrachés. C’était en juillet. L’été n’est sans doute pas la période la plus propice. Mieux vaut opter pour le printemps ou l’automne.  
Se loger
En période de forte saison touristique ou si l’on est à la tête d’une importante tribu, mieux vaut réserver ses chambres à l’avance, par exemple avec le site Agoda.com. En pratique, on trouve facilement des chambres sur place. Néanmoins, dans les gorges de Taroko, les faible capacités hôtelières méritent une réservation préalable (nous avions opté pour le Tienhsiang youth activity center mais il y a aussi le luxueux Silks Place Taroko).

Source Jean-Marc Proust


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01 novembre 2016

Il l’a fait et améliore son record du monde à Taipei !!

Lui ? 
c’est le cycliste polonais Krystian Herba. Déjà détenteur du record du monde dans le World Guinness Record pour avoir grimpé plus de 2 900 marches à vélo, le cycliste polonais s’était lancé un nouveau défi il y a six mois: celui de gravir la tour Taipei 101 et ses plus de 3 000 marches.
bravo (cna)
En effet, Krystian Herba, professeur de sport dans la vie ordinaire, s’est lancé dans sa passion pour l’ascension des bâtiments les plus élevés du monde en 2009 et il a choisi la tour Taipei 101 pour battre son propre record. Après six mois d’entraînement intense dans son pays, il a gagné la capitale taiwanaise pour relever ce challenge: hier, il a réussi avec brio à « pédaler » les 3 139 marches du phare de la capitale Taipei et a établi une nouvelle performance dans ce domaine.
 Cela porte à 10 le nombre de conquêtes réussies avec les plus hauts gratte-ciel gravis à vélo depuis Dubaï, Shanghai et Melbourne, en passant donc désormais par Taipei.

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15 octobre 2016

Taiwan, pays de la bicyclette « en regain » de forme !!

Où qu’ils aillent, les amoureux du vélo – de plus en plus nombreux et populaires à Taiwan – aiment à vagabonder, errer et se laisser transporter au gré des coups de pédales. Une escapade par ici, une excursion par là-bas, une halte repos ou même une pause repas ici et là. Pratiques et pragmatiques comme des Taiwanais, ces vélophiles, amateurs ou confirmés, ont trouvé un bon endroit – pardon – de bons endroits pour prendre ce moment de répit entre deux balades.
ubike
Sur 23 millions d’habitants et 36 000 m2, Taiwan regorge même de plus de 10 000 haltes de ce type que sont les magasins de proximité : un point pour 2300 habitants, la plus forte densité au monde. Alors, il fallait bien sûr penser aux besoins de ces cyclistes de plus en plus nombreux :
Mon ami français Frédéric Delort.

Les 7-Eleven, les FamilyMart, les Hi-life… etc. ont mis en route produits et centre d’intérêts pour attirer ces cyclistes, les approvisionner en eau et nourriture ou encore en parking, dépôt et entretien du vélo…
Selon 7-Eleven, 500 de ses 5000 magasins sont désormais spécialement dotés de ces « dépôts vélo » où l’on peut regonfler ses pneus, huiler sa chaîne, appliquer une rustine, etc… et bien évidemment, le tout agrémenté d’une variété de produits alimentaires spécialisés comme des bananes, boissons énergisantes, etc.
7-11 pompes
Autre point intéressant à souligner : la coopération du bureau national du tourisme avec les enseignes de proximité pour mettre à disposition des centres d’information touristique. Par exemple, plusieurs magasins de FamilyMart ont rejoint le programme et proposent aux clients cyclistes des cartes détaillées des sites touristiques, des pistes cyclables et un service gratuit Wi-Fi aux points repos du vélophile où le bonhomme et son smartphone peuvent recharger ensemble leurs batteries, et bien sûr, tout le matériel d’entretien du vélo.
halte 7-11
Plus de fringale, pas de crainte de se retrouver nulle part sans rien sous le coude, voilà qui a de quoi vous revigorer dans vos vélléités de coups de pédales à travers l’île. Lier le pratique, l’utile et l’agréable, c’est donc aussi cela le sens de la proximité et du service de ces magasins de proximité.

Source Radio Taiwan International.

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01 octobre 2016

Taipei listée comme la première destination "à voir" dans le monde par un site américain !!


La liste a été publiée le 13 Février dernier avec chaque ville présentées avec une jolie photo de style carte-postale. Le site n'explique pas par contre quels furent les critères de classement.




Taipei arrive première, suivie dans l'ordre de la capitale de Lettonie, Riga, Bruxelles en Belgique, Vancouver au Canada, Dublin en Irlande, Istanbul en Turquie, Hong Kong, New York, Sydney en Australie et Rio de Janeiro au Brésil.



D'autres villes asiatiques se trouvent dans la liste, Shanghai (12), Bangkok (16), Phnom Penh (29), Tokyo (33), New Delhi (36), Tel Aviv (38), Beyrouth (39), Kuala Lumpur (42) et Singapour (48).



Ce n'est pas la première fois que BuzzFeed s'intéresse à Taipei. En Février 2014 le site avait classé Taipei première des 26 destinations les plus remarquables pour les voyages en solitaire, et en Août 2013, le site avait listé les 28 raisons d'aimer Taipei.

Source Taipeisoir



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